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Vous êtes de plus en plus nombreux à nous suivre quotidiennement. Afin de faire face à cette croissance et dans le but de pouvoir affronter les besoins de demain, une migration de serveur a été effectuée. Ceci a entrainé une indisponibilité du site d’environ 3 heures hier soir qui s’est terminée à 23h54.
La situation est désormais rétablie et votre webzine de Val-de-Travers est dès lors à nouveau pleinement opérationnel !
Le Canarvallon journal satirique 2019 disponible dès les 29 mars 2018
Retrouvez dès demain, jeudi 29 mars, le Canarvallon dans vos points de vente régionaux.
Le Canarvallon journal satirique 2019 disponible dès les 29 mars 2018
Récemment renommé Canarvallon, afin d’éviter toute confusion avec la fête du CARNAVALLON – Carnaval du Val-de-Travers, votre journal satirique préféré sort jeudi 29 mars 2018. Son prix est fixé à 6 francs.
Il fallait être à l’heure pour le deuxième acte de la finale de promotion!
Tout d’abord pour célébrer dignement le titre de champions romands de nos Moskitos (assurément une expérience incroyable pour notre relève!) mais aussi parce que bien décidés à remettre les compteurs à zéro, les fleurisans ont entamé la rencontre de la meilleure des manières.
Après seulement 108 secondes de jeu, Jacot ouvrait le score pour le plus grand bonheur des 880 spectateurs (merci à vous tous pour votre soutien). Il ne fallait que 36 secondes supplémentaires pour voir Valentini doubler la mise!
Bien dans leurs patins et trouvant régulièrement les bonnes lignes de passes, les gars du vallon auraient pu encore aggraver le score à plusieurs reprises.
Les visiteurs se cassaient eux les dents sur un Rochat des grands soirs!!
À la mi-match et alors que les locaux se montraient particulièrement inspirés, le revenant Evan Colò logeait la rondelle sous la barre d’un tir imparable!
Avec trois longueurs d’avance et une excellente maîtrise de leur sujet. Les « jaune et noir » se mettaient néanmoins en difficulté en concédant deux pénalités successives. Si la première était tuée sans encombre, les valaisans réduisaient le score par Aviolat à dix minutes de la sirène!
Les protégés du duo Jeannin/Marquis écopaient encore d’une punition mais alors que Valentini rejoignait les siens, il servait Huguenin pour le 4-1, score final!
Les vallonniers ont véritablement livré un match plein pour égaliser dans cette série qui s’annonce palpitante!
Il s’agira de récupérer des efforts consentis ce soir, pour s’en aller jeudi en terres valaisannes chercher le deuxième point de cette finale!
« On vient répéter avec grand plaisir ! »… C’est la cordialité ambiante qui frappe lorsque l’on rencontre le comité de cette société créée en 1959. « On est heureux d’être ensemble, l’ambiance est magnifique et lors de nos multiples activités, les membres s’inscrivent toujours avec envie et motivation ! ».
À Môtiers, c’est bien connu, sans les élèves de l’école et la contribution de l’Écho de Riaux, il n’y aurait pas de Fête des fontaines, même si toutes les fontaines sont décorées sans le moindre comité d’organisation.
Aujourd’hui, sous l’égide d’un comité dynamique, la société participe à de nombreux événe- ments. Outre le concert annuel, présenté à Môtiers et à Boveresse en novembre, l’Écho de Riaux prend part à l’Abbaye de Môtiers ainsi qu’au festival annuel de l’Association des accordéonistes de l’Arc jurassien qui aura lieu aux Ponts-de-Martel en octobre 2018. Tous les quatre ans, la Fête fédérale représente un objectif important, récompensé par une mention « très bien » en 2016 à Disentis. Divers concerts à l’occasion de mariages et dans les homes, ainsi que quelques rencontres avec d’autres clubs – le concert de Noël avec La Brévine – jalonnent l’année qui est encore marquée par la sortie « interne », destinée aux membres, cette année à Glaris.
Quelques mots d’histoire…
Si l’on veut évoquer l’histoire de la société, c’est vers Esther Galley, véritable encyclopédie vivante du club qu’il s’agit de se tourner. En possession des archives, notamment des plaquettes, elle est à même de retracer les grands moments de la vie de l’Écho de Riaux: « La société a été fondée en 1959, moi je suis arrivée l’année suivante ! Parmi les membres fondateurs, il convient de citer Paul-André Adam, Georgette Chevré, Denis Christinat, Agnès Rota, Edith Sommer et de nombreux autres ! Au début nous répétions au Buffet de la Gare de Môtiers mais nous étions trop – on a eu été jusqu’à 35 musiciens – et nous avons rejoint le collège de Môtiers ! La personne qu’il convient de citer en tous les cas, c’est Paul-André Adam, véritable cheville ouvrière de la société ».
Pourquoi l’accordéon ?
Deux registres de raisons de pratiquer l’accordéon, pour l’Écho de Riaux et son président : « Au plan musical, cet instrument permet de jouer de tout. Ce n’est donc plus un instrument de « vieux » comme on l’a dit parfois. Polyvalent, l’accordéon a élargi son répertoire et ainsi, les techniques ont évolué également. De surcroît, le folklore revient à la mode ! »… Michael Montandon évoque l’autre raison essentielle, c’est la formidable ambiance de cette société : « Une rare cordialité entre les membres ! Lors des manifestations, pas besoin de dire qui fait quoi, tout est organisé de manière naturelle. On est vraiment heureux d’appartenir à cette société ! ». À l’image des concerts d’ailleurs, pourquoi organiser cet événement ? « Tout simplement pour faire plaisir aux spectateurs ! Dès lors, nul besoin de montrer ce que l’on sait faire ! ».
2membres
Les membres actifs de la société ne résident pas tous au Val-de- Travers. Certains viennent de Saint-Aubin, des Ponts-de-Martel et de la Vallée de La Brévine – La Chaux-du-Milieu. Parmi eux, Lelio Dubied, 11 ans, de Môtiers, est le membre le plus jeune de la société. Il joue de l’accordéon depuis deux ans environ. Avant il jouait de la batterie : « J’avais envie de faire quelque chose de « suisse », de folklorique ! Avant je jouais de la batterie, c’était donc difficile ! Voilà pourquoi j’ai choisi l’accordéon ! ». Lelio apprécie beaucoup et trouve les membres de la société très sympathiques. Il a la chance de prendre des leçons privées – 45 mn par semaine – avec Jessica Studer : « Le plus difficile, c’est la coordination des deux mains ! ».
Comment ne pas citer Esther Galley, laquelle, après 56 années de pratique au sein de la société, a dû s’arrêter pour des raisons de santé : « J’ai commencé à 21 ans et je n’ai plus jamais arrêté. Avec mon mari, nous étions allés à la vente de paroisse et j’ai entendu jouer l’Écho de Riaux. Je savais déjà jouer et j’ai dit alors « j’y vais, à qui je dois m’adresser ? »… Georgette Chevré m’a dit alors qu’il suffisait de venir la semaine suivante… Nous étions en janvier 59 ! ».
UNE ANECDOTE
Tous les musiciens – excepté dans le domaine du jazz – le savent, il n’est pas permis de taper du pied pour marquer le tempo ou le rythme d’un thème. Et encore moins devant les juges lors des concerts notés. Joëlle, qui a la malchance d’avoir, à sa droite et à sa gauche, deux musiciens qui tapent du pied, leur a offert à chacun une paire de pantoufles en forme de canard. « Depuis, on ne les entend plus ! » précise-t- elle avec sourire.
L’ECHO DE RIAUX C’EST :
PrésidentMichaelMontandon
Vice-présidente Sandrine Perret
Caissière Sylvie Pluquet
Secrétaires Anastasia Gander (correspondance) et Joëlle Pétremand (aux verbaux)
Resp. matériel Rose-Marie Perret
Assesseur Tina Dubied
Dir. musicale Claudine Huguenin
Sous-directrice Janine Robert
Formatrice des jeunes Jessica Studer
Membres
16 actifs (14 adultes et 2 jeunes)
50 passifs (ou membres d’honneur)
Budget annuel env. Fr. 11’000.-
Cotisation Fr. 50.- par an
Aux personnes intéressées, contact [email protected] ou 079 947 44 75
Environ 150 construct’heures ont pu construire leur pendule Jou’heure samedi 24 mars 2017.
A l’occasion de la célébration du changement d’heure organisé par la Commune de Val-de-Travers, Vaucher Manufacture Fleurier a reçu près de 700 personnes!
Au programme, en sus de la découverte de la manufacture et de son savoir-faire, divers ateliers pour les grands et les petits étaient proposés. Les enfants de moins de 6 ans ont profité d’un atelier bricolages et de contes ; ceux de 6 à 12 ans ont eu l’occasion de construire une pendule en bois. Les adolescents de 12 à 16 ans ont, quant à eux, pu monter un mouvement.
L’objectif de faire connaître et aimer l’horlogerie aux jeunes générations a été pleinement rempli!
Pour ce dernier match des play-off, Valtra s’est déplacé dans le canton de Thurgovie. Sans Cindy Wigger blessée, mais qui a fait le déplacement avec l’équipe.
Le début de la partie est dominé par l’équipe d’Aadorf qui creuse le score dominant 11 à 5. Les filles du Vallon réagissent mais le VBC Aadorf ne se laisse pas faire et l’emporte 25 à 15.
Les coéquipières de Fabienne Haüsermann reviennent dans le match avec une attitude différente sur le plan offensif, avec un jeu plus varié et un bloc mieux ajusté. Elles creusent l’écart menant 19 à 11 mais Aadorf se réveille et revient à égalité 22 partout. Deux bons services et un bloc permettent aux filles de Luiz Souza de l’emporter 25 à 22.
La troisième manche commence équilibrée, mais progressivement Aadorf prend l’avantage à l’attaque et mène le set. Malgré les temps morts demandés Aadorf l’emporte 25 à 18.
Le partiel suivant est très serré. Les deux équipes montrent un bon niveau de concentration sur le système défensif. Valtra a un petit avantage puis après quelques erreurs d’Aadorf à l’attaque, les coéquipières de Maria Castellani mènent 19 à 14. Aadorf revient au score pour égaliser à 22 partout et finit par gagner le match 25 à 23.
« Malgré la défaite, je suis très satisfait du niveau de jeu que nous avons présenté, du dévouement avec lequel les joueuses ont fait preuve sur le terrain. Je pense que nous avons fait une bonne saison, nous avons atteint notre objectif principal, et dans les playoffs, avec plusieurs jeunes, nous avons réussi à restructurer l’équipe et à faire de bons matchs. Reposons-nous un peu la tête et puis préparons l’équipe pour la nouvelle saison ! « exprimait Luiz Souza après la rencontre.
Chaque semaine, le Courrier du Val-de-Travers partage le portrait d’un “porteur”!
Cette semaine, découvrez Justine.
Les porteurs à l’honneur
Nom: Hamel
Prénom: Justine
Age: 12 ans
Statut: Elève de 9e H
Village: Môtiers
Justine est d’un naturel enjoué, c’est donc avec le sourire
qu’elle procède à la distribution de « ses » 200 journaux à Môtiers – toute la partie est du village partagé par la Grand’rue –, depuis le début de l’année scolaire. Une affaire de famille, chez les Hamel, puisque Justine a succédé à son frère Simon. Habituellement, elle démarre sa tournée aux environs de 16 h et il lui faut un peu plus d’une heure pour la mener à son terme. « C’est sympathique, les grands-mamans attendent leur journal en guettant derrière leurs fenêtres ! ». En fin d’année, tradition familiale oblige encore une fois, un petit mot de souhait de « joyeuses fêtes » accompagne le dernier journal : « Les gens sont hyper gentils et généreux ! ».
La fusion vue par François Charrière
Neuchâtel Hiver 1997
Pas de regret pour Les Verrières et La Côte-aux-Fées. Près de onze ans après le rejet par le peuple du projet de commune unique du Val-de-Travers, leurs autorités valident les choix faits à l’époque.
La fusion vue par François Charrière Neuchâtel Hiver 1997
Dimanche 17 juin 2007, 12h46, le couperet tombe : deux communes rejettent la fusion des onze villages du Val-de-Travers. Les Verrières timidement (52,78% de non), La Côte-aux-Fées massivement (70,31%). Au lendemain du vote, les neuf autres communes décident de remettre l’ouvrage sur le métier et de proposer à la population un projet de fusion à neuf. Le 24 février 2008, Les Verrières et La Côte-aux-Fées prennent acte de la naissance de la commune de Val-de-Travers.
Condamnés, les deux villages en marge ? Isolés ? Dépérissant ? Pas du tout. Si Jean-Bernard Wieland et Laurent Piaget, respectivement présidents des Verrières et de La Côte-aux-Fées, admettent quelques craintes et difficultés initiales, ils sont fiers de l’évolution de leur commune. Regards croisés sur leur situation passée, présente et à venir.
Au lendemain du scrutin du 24 février 2008, quels étaient vos sentiments ?
Jean-Bernard Wieland (JBW) : Une fois la fusion des neuf autres villages en place, la population a eu une certaine crainte. Seuls 52% des votants avaient refusé le projet de commune unique, en 2007. La partie en faveur de la fusion disait qu’on était fichus, qu’on allait péricliter. Lors de la constitution des autorités de la première législature qui a suivi, j’ai eu peur, pas pour moi (réd : il est conseiller communal aux Verrières depuis 1993) mais pour les cinq personnes en place, d’un vote de sanction puisque nous étions unanimement contre. Il n’a pas eu lieu. Nous avions dit qu’il ne fallait pas fusionner, la population a choisi de nous laisser assumer notre responsabilité.
Laurent Piaget (LP) : Chez nous, même si le vote a été beaucoup plus clair, il a été extrêmement difficile de trouver des personnes motivées à rejoindre les rangs des autorités. Il a fallu faire deux séances publiques pour trouver du monde. C’était très paradoxal. La majorité était contre la fusion, mais personne ne voulait s’engager ni s’investir. Je m’étais inscrit sur les listes électorales précisément parce que j’estimais que je devais assumer mes choix. Aujourd’hui, les jeunes s’investissent de plus en plus. Ils nous remettent en question, veulent comprendre et ne se gênent pas pour nous titiller. Nous devons davantage nous préparer et argumenter, c’est plus vivant, c’est super.
Devez-vous vous battre pour vous faire entendre par Val-de-Travers ?
LP : Au début, on était écoutés par politesse, notre avis ne comptait pas, et en tant que milicien, je me mettais en retrait. Maintenant, c’est plus facile. On réalise que nous sommes une commune à part entière. Politiquement, notre Conseil communal est au même niveau que les autres exécutifs. Nous sommes aussi plus attentifs, plus virulents sur certains points.
JBW : On s’est d’abord sentis écrasés, peu pris en considération, on était sur la défensive, mais la situation s’est améliorée. On a senti que les personnes en place durant ces dernières années ont envie de travailler avec nous, de façon constructive, dans un esprit régional, de discuter à trois sans nous mettre de côté, c’est magnifique.
Quels sont les principaux changements induits par le mariage des neuf autres villages ?
JBW : Le Conseil communal de Val-de-Travers travaille pour nous (rires). Il se dépense, élabore des projets et on en profite ! Ils ont les mêmes problèmes que nous, donc quand le résultat est positif pour eux, il est très bon chez nous aussi.
LP : On se repose souvent sur Val-de-Travers. Dans nos exécutifs, chacun gère les affaires
communales en plus de son activité professionnelle à 100%, en lisant le soir des dossiers de le plus en plus compliqués sur lesquels le temps de réponse accordé par Neuchâtel ou Berne est de plus en plus court. Un exécutif professionnel n’a « que » ça à faire. De plus, la région est de plus en plus soudée. Avant, c’était la guerre entre certaines communes : les unes disaient oui si les autres disaient non. Aujourd’hui, il n’y en a plus que trois. Ce n’est pas forcément plus facile, mais c’est plus sain.
Toutefois, vous ne souhaitez pas rejoindre la commune fusionnée ?
LP : Non. On gère nos affaires, on s’en sort bien.
JBW : Des petits groupes de personnes estimant que les Verrières devraient rejoindre Val-de- Travers se sont formés, mais leur avis n’est jamais remonté jusqu’aux autorités. La population se rend compte que, malgré tout, on a travaillé dans un système positif et on est allés de l’avant.
Comment a évolué votre village ?
JBW : Sans nous serrer plus la ceinture que la grande commune, nous avons eu des comptes noirs six ou sept ans de suite, tout en remettant au goût du jour pratiquement tous nos bâtiments administratifs qui devenaient insalubres. C’était l’un de mes
arguments majeurs dans mon rejet de la commune unique : qu’est-ce qui sera pris en considération chez nous si nous ne formons plus qu’un ? J’étais persuadé que la grande salle ou la halle de gymnastique des Verrières ne serait pas une priorité. Il nous fallait pouvoir accueillir les gens la tête haute, dans notre salle de spectacle, notre collège et
notre administration avant de songer à intégrer une commune qui ne nous garantissait pas ces investissements.
LP : À La Côte-aux-Fées, on était contents de ce qu’on avait, on n’avait pas besoin de plus. On avait une banque, une poste, une boucherie, une laiterie, une boulangerie et un magasin d’alimentation. On a perdu la Poste, mais ce n’est pas dû à la fusion.
Tout est rose, alors ?
LP : Grâce à la présence de l’entreprise Piaget et de ses trois directeurs, La Côte-aux-Fées était un village riche. Les retours financiers sont moindres aujourd’hui, c’est beaucoup plus difficile. Je pense qu’arrivera un jour où Neuchâtel nous obligera à fusionner. En attendant, notre situation devrait faire réfléchir les Neuchâtelois qui pensent « haut » et « bas ». Il faut que le canton dans sa globalité réalise que nos trois communes s’entendent bien. Certaines personnes pensent que ce n’est pas possible de vivre à côté d’une commune fusionnée. Alors que si. Nous ne sommes pas des extraterrestres !
Le regard d’Alexis Boillat
« Ambassadeur de Val-de- Travers aux Verrières. » C’est ainsi que se présente Alexis Boillat, chancelier de la commune depuis sa création. Habitant des Verrières, il constate que « les deux villages indépendants ont bien tiré leurs marrons du feu après la fusion : leurs charges ont diminué, à une échelle importante. À part entretenir leurs routes et leurs bâtiments, il ne leur reste plus grand-chose à faire. »
Estimant que « le personnel communal avait été mis devant le fait accompli et non associé aux réflexions », lui-même n’était pourtant « pas très chaud avant le premier vote. Mais le projet avait passé dans neuf villages, il fallait tout faire pour que ça marche. Un plus a été de pouvoir repartir d’une feuille blanche, de mettre en place des procédures plus dynamiques et dans l’air du temps malgré quelques réticences au changement qui, avec le temps, se sont estompées. Si le processus s’était déroulé sereinement, je pense qu’on aurait pu trouver les quelques voix manquantes aux Verrières. À La Côte-aux-Fées, la situation était différente. Mais je pense que dans dix ans les trois communes n’en formeront plus qu’une. »
EXPRIMEZ-VOUS
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