
Le Conseil d’État neuchâtelois a adopté un nouvel arrêté sur l’exercice de la pêche valable dès la saison 2026. Cet arrêté fixe les règles halieutiques applicables dans toutes les eaux du canton, à l’exclusion du lac de Neuchâtel.
Face aux effets croissants du changement climatique sur les rivières et ruisseaux, le gouvernement cantonal a choisi de renforcer la protection de la faune aquatique, en concertation avec la Commission consultative de la faune aquatique.
Une seule prise d’ombre commun autorisée par jour
Parmi les principales nouveautés, la limite journalière de capture de l’ombre commun est désormais fixée à un seul individu dans l’Areuse et le Buttes, contre deux jusqu’à présent.
Cette mesure vise à préserver les populations fragilisées de ce poisson emblématique des cours d’eau du Val-de-Travers, déjà soumis à la hausse des températures et à la diminution du débit des rivières.
Des « fenêtres de capture » pour protéger les truites
Autre changement majeur : les tailles minimales de capture pour la truite seront remplacées par des fenêtres de capture.
Concrètement, les pêcheurs devront relâcher les poissons en dessous et au-dessus d’une certaine taille, afin de protéger les individus intermédiaires, essentiels au maintien d’une population saine et durable.
Cette règle s’appliquera dans les bassins de l’Areuse, du Doubs, du Seyon et dans le Bied des Ponts.
Ouverture le 1er mars, fermeture uniformisée au 30 septembre
Comme chaque année, l’ouverture officielle de la pêche à la truite dans les rivières du canton est fixée au 1er mars 2026 à 07h00.
Par souci de simplification, la fermeture de la saison sera désormais uniformisée au 30 septembre pour l’ensemble des cours d’eau neuchâtelois.
Une pêche durable pour les générations futures
Avec ces nouvelles règles, le canton de Neuchâtel confirme sa volonté d’encourager une pêche responsable et durable, conciliant passion halieutique et préservation de la biodiversité.
Ces ajustements permettront de mieux protéger les espèces sensibles et de s’adapter aux réalités climatiques qui affectent déjà les milieux aquatiques du canton.
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C’est vraiment la catastrophe! L’incompétence règne dans le services de Couvet; la pisciculture de Motier à était transformé en dépôt des cartons; l’alvinage est en options depuis 7 ans; les harles sont en pleine forme. C’est honteux!😬😬😬
Quelle misère… Tout ça pour tenter de corriger les erreurs commises en supprimant la pisciculture de Motiers!
Alviner avec de la lacustre est une hérésie…
Ciao le permis, y en a marre là….😡
Il est temps de dire stop ! NON est une phrase ! Être fataliste n’arrange rien !
Ça devient vraiment du n importe quoi , on est de plus en plus restreint et le prix du permis ne diminue pas , ils mériteraient que plus personne ne prenne le permis , ah et au fait , les 150.- qui versé à l état servent à quoi ????
En tout cas pas au repeuplement. On avait de magnifiques infrastructures, mais non , l état a tout laissé tombé et ce , même après avoir investi des millions dans les pisciculture
C est vraiment incompréhensible.
Bref , c est la vie actuelle 🤷🏼
Stop à toute atteinte à la nature sauvage!!! 😡
Encore plus de harles ca iras mieux
Il y à déjà presque plus de truites dans le Buttes , quelques petites 🥴
On pourrait voir autrement aussi, il y a 50 ans les truites foissonait , chaque année des alvins de la pisciculture de Motier 👌 certains secteurs étaient interdits à la pêche et d’autres pas, tous fonctionnait très bien 👌👌👌
Aujourd’hui ils faut de nouvelles directives politiques, pour sauver se qui reste!!!
Alors que avec l’ancien système, on aurait pu développer ce système touristiquement , on serait venu de loin pour pêcher!!!
Un atout pour le Val de Travers 👌👌👌